Djibouti : SECOURS ET URGENCE EN FAVEUR DE LA PREMIÈRE CAPITALE , OBOCK

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obockLA ville d’Obock vit les moments les plus sombres de son histoire, cette ville qui a enfanté les hommes qui ont marqué l’environnement politique du pays, se retrouve aujourd’hui marginalisée par le système actuel et ses acolytes.
Dans cet état nous ressentons de la colère et du désespoir face à une situation critique qui ne semble pas avoir de solution. La ville est depuis le mois de juin, complètement plongée dans le noir. L’unique centrale électrique de la ville, qui alimente aussi les alentours, est tombée en panne. Résultat: l’électricité est coupée depuis trois mois.
La distribution d’eau potable est aussi compromise. Les conséquences sont désastreuses pour les habitants mais aussi et surtout pour les infrastructures de soins dans la ville. Privé d’électricité, l’hôpital de la ville ne peut plus assurer la chaîne du froid et donc conserver les vaccins et autres médicaments. Les soins médicaux sont devenus impossible à réaliser. Les établissements scolaires se retrouvent incertains quant à la continuité de son fonctionnement.
De ce fait, Nous exigeons que justice soit rendue pour OBOCK et espérons que le pouvoir en place trouvera une solution le plus possible car il est de la survie de nos concitoyens.
La population n’en peut plus.
Ali Mohamed Dato
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Authored by: Hassan Cher Hared

Hassan Cher Hared

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