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Le député somalien Dr Abdillahi Hashi Abib, diplômé (MA, MASC, Ph.D.) dénonce une corruption généralisée : détournements de fonds publics, fraudes académiques (ex. : le gouverneur de la Banque centrale), expulsions forcées, et transferts illégaux d’actifs via la Premier Bank. Ses accusations visent le président Hassan Sheikh Mohamud, des ministres et des institutions clés. Menacé, il a saisi l’Union interparlementaire (UIP) pour entraves à son travail. Expulsé du Parlement en 2025 pour « absences », il y voit une manœuvre politique. Ses révélations fragilisent la mafia Qawlaysato, liée à des élites somaliennes et djiboutiennes, poussant Djibouti à proposer une médiation sous pression internationale. En danger, Abib poursuit son combat devant la CIJ, symbole d’un espoir de transparence en Somalie.

Dans son Avis n° 67/2024 adopté le 14 novembre 2024, le Groupe de travail de l’ONU sur la détention arbitraire exige la libération immédiate d’Abdoulkarim Aden Cher, ancien ministre djiboutien détenu depuis 2022. Qualifiant sa détention d’arbitraire (catégories I à V), il dénonce des accusations « prétextuelles », liées à son esprit critique. L’ONU réclame une enquête indépendante, une indemnisation et la publication de l’avis. En cas de non-respect, Djibouti risquerait des pressions diplomatiques accrues.

Des documents révèlent une corruption institutionnalisée au Ministre de la Jeunesse et de la Culture de Djibouti. Des fonds publics, dont des dons de l’UNICEF, financent des dépenses personnelles (ex. : 10 000 FDJ/jour pour le petit-déjeuner de son époux). Un compte Al-Gamil (N°41197241), frauduleusement attribué à sa secrétaire, et un détournement de 1,14 million FDJ via NOUGAPRIX illustrent ces malversations. Kadra Mouhoumed Awaleh, lanceuse d’alerte, subit menaces, licenciement abusif et sabotage judiciaire. Malgré ses plaintes, l’inspection générale et la Cour des comptes restent silencieuses. Une impunité protégée par des réseaux politiques, exigeant une pression internationale.

Comment l’Iran instrumentalise conflits locaux et divisions sectaires pour affaiblir l’Occident et assoir son pouvoir dans une région clé : Cet article analyse la stratégie multidimensionnelle de l’Iran en Afrique de l’Est, visant à étendre son influence via le chiisme, le contrôle des ressources (uranium, pétrole) et la mainmise sur les routes maritimes stratégiques (Bab-el-Mandeb). En s’appuyant sur des alliances paradoxales avec des groupes armés comme les Houthis, Al-Shabaab et l’État islamique en Somalie, Téhéran renforce son emprise régionale. La mafia Qawlaysato sert de courroie pour contourner les sanctions et financer des réseaux religieux. Cette ingérence exacerbe les rivalités internationales (États-Unis, monarchies du Golfe) et menace la sécurité maritime mondiale.

Djibouti recrute 500 policiers en 2025, priorisant le clan Mamasan-Issa (247 postes). L’ex-ministre Mohamed Barkhad Abdillahi et Naguib Kamil sélectionnent des Gadaboursi et Afars. Formation assurée par le capitaine Wada-Ali à Danlay. Ce ciblage clanique, piloté par Guelleh, suscite des craintes de milice et tensions ethniques.

1. Raisons de la suspension du maire par M. Kassim Haroun Ali  M. Kassim Haroun Ali, Ministre délégué chargé de la Décentralisation, a suspendu le…

Accusations et preuves mentionnées dans le courrier du président des ports de Djibouti. Le courrier du président des ports de Djibouti SA, adressé au directeur…

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Mogadiscio, 31 janvier 2025 – La capitale somalienne a été le théâtre d’événements inquiétants dans la soirée du 31 janvier 2025, alors que des drones…

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