Djibouti : La santé du tyran Ismaël Omar Guelleh coûte cher au peuple djiboutien

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IOG - cercueilSoigné aux frais des contribuables djiboutiens et sans qu’il ne leur puisse jamais rendre compte par mépris, la santé du tyran de Dire-Dawa coûte de plus en plus cher au peuple djiboutien qui ne mange même pas à sa faim. Ce n’est plus un secret de polichinelle que la République de Djibouti traverse l’une de ses graves crises de son histoire tant sur le plan politique, moral qu’économique et sanitaire: manque d’eau, d’électricité, les structures éducatives et sanitaires n’existent qu’en apparence et n’assurent plus leurs fonctions, vidées de leur substance, le chômage est très élevé alors que la minorité au pouvoir et en particulier le sous clan détourne, dans l’impunité la plus totale, les deniers publics. A Balbala par exemple, un quartier populaire de la capitale qui concentre la majorité des djiboutiens, les habitants mangent à peine un repas par jour.

Pendant ce temps, le patient Ismaël Omar Guelleh s’impose comme globe-trotter, sillonnant, en toute discrétion, toutes les cliniques les plus chics du monde, dépensant sans compter ses frais médicaux, entretenant son avion en Afrique du Sud, payant grassement ses pilotes polonais… Tout cela sans penser un seul instant à son peuple.

L’opulence dans laquelle il vit est sans doute à l’origine de sa cécité mentale. La médiocrité dans laquelle il baigne n’aide pas forcément le roitelet de faire son introspection, trop occupé sans doute à profiter d’une vie de plaisirs pour cet ancien policier de la brigade des mœurs, qui n’a jamais rompu en réalité avec son métier de prédilection. La pollution morale serait son sport favori. Au point d’imposer sa petitesse d’esprit à l’ensemble des djiboutiens. Les mosquées qu’il ferme participent de cette bêtise plus que d’une volonté de lutter contre un pseudo-terrorisme.

L’orchestre central des crimes de guerre, génocide et crimes contre l’humanité n’aime plus la lumière du jour ni les projecteurs de la RTD (radiotélévision de Djibouti) son organe de propagande. Il préfère se cacher : cacher sa souffrance, cacher cette lourde intervention chirurgicale qui l’a cloué au lit, cacher aussi ses nombreuses pathologies chroniques responsables d’asthénies invalidantes. Le Gros comme on l’appelle souvent aurait perdu des kilos!

Il n’a plus d’idoles, plus aucun Djiboutien ne le tolère et ce soir encore, le peuple Djiboutien se réjouit à l’idée de savoir que dans son testament, Monsieur Guelleh aurait choisi de se faire enterrer à Dire-Dawa sa ville natale qu’il n’a jamais quitté mentalement et qui ne l’a jamais quitté. Une façon de manifester son mépris à l’égard des djiboutiens à qui il rend au contraire service.

Ce qui préoccupe le peuple djiboutien, ce sont ces milliards de Francs djiboutiens qui partent en fumée par les caprices d’un seul homme et de son-sous-clan mafieux (voir photos), prêt à le suivre dans sa logique suicidaire. N’est-il pas temps de se désolidariser et de rejoindre le camp de l’opposition USN et de ses sympathisants?

Aux nombreuses dépenses judiciaires succèdent désormais les colossales et vertigineuses dépenses sanitaires de Monsieur Guelleh dont le Val-de-Grâce reste le principal bénéficiaire de cette manne financière.

Et pendant ce temps, le peuple djiboutien souffre…

Houssein IBRAHIM HOUMED
 


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Authored by: Hassan Cher Hared

Hassan Cher Hared

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