Djibouti : comment le colonel Mohamed Djama Doualeh a égorgé une escorte-girl à deux pas du palais Haramous.

Djibouti : comment le colonel Mohamed Djama Doualeh a égorgé une escorte-girl à deux pas du palais Haramous.

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Colonel Mohamed Djama

Du jour au lendemain, la tension monte gravement entre les G7 (les 7 de Gerisa) et l’état parallèle dont madame Kadra Mahamoud Haïd et le colonel Abdillahi Abdi Fararh sont les chefs de file.

La preuve, chaque groupe, en accusant l’autre, laisse fuiter indirectement des informations hautement sensibles comme celle qui suivra.

Un proche cousin de madame Kadra Mahamoud Haïd, la première dame du pays, nous a transmis un dossier surprenant. Ce dossier qui relate des crimes horribles nous ramène à l’époque de Jack l’Éventreur, un tueur en série ayant sévi dans le district londonien de Whitechapel en 1888. Jack l’Éventreur se distingue par de profondes balafres à la gorge, des mutilations à l’abdomen et aux parties génitales, le prélèvement d’organes internes et des mutilations faciales.

Ces documents reçus de la part de l’état parallèle exposent des crimes semblables à ceux de Jack l’Éventreur, mais la scène des crimes est cette fois à Djibouti-ville et Jack l’Éventreur n’est personne d’autre que le colonel Mohamed Djama Doualeh, commandant de la garde républicaine.

La police des mœurs djiboutienne a constaté que quatre escortes-girls d’origines somaliennes et ayant des liens plus qu’extraconjugales avec le colonel Mohamed Djama Doualeh ont disparu du radar de la police des mœurs vers le milieu de l’année 2014. Cas même, l’état parallèle a réussi à déterrer l’histoire d’une de ces quatre escortes-girls égorgées sauvagement.

Le récit de la victime, que nous nommerons Kadra*, et contenu dans les documents qui nous a été transmis via le WhattsApp du numéro +25 377 188 091 en aout 2019 expose comme ceci l’assassinat de l’escorte-girl somalienne : « le mois de mars 2014 vers 19 h du soir, juste avant la prière d’Ishaï, la Peugeot de couleur noire du colonel Mohamed Djama Doualeh s’est arrêtée sur le chemin qui mène à l’ île de la tortue ou Haramous, après avoir dépassé 1.5 kilommetres la maison de l’ancien directeur de la banque du développement – Nouh Omar Miguil dit Birr-Asse. La voiture du commandant de la garde républicaine est restée sur place quelques minutes et brusquement une jeune fille descend du côté passager de la voiture. Le colonel Mohamed Djama Doualeh descend à son tour. Voyant derrière elle le colonel, la jeune fille est venue l’enlacer et l’embrasser puis elle s’est retournée en disant qu’elle allait uriner dans les mangroves en langue somalie. Dès qu’elle a eu le dos tourné et comme s’il attendait cette occasion, le colonel Mohamed Djama Doualeh la poignarde 3 fois de suite puis il l’égorge. Elle n’a même pas eu le temps de crier tellement c’était rapide et violent. Lorsqu’il a tué la pauvre femme, il a sorti du coffre de sa voiture une couverture en plastique et il a emballé le corps inerte de la jeune fille dans la couverture. Il l’a balancé dans le coffre de sa voiture comme un sac de poubelle. La voiture a pris la direction de Demerjog. »

Les éléments de l’état parallèle qui nous ont remis ces documents pensent que les trois autres escortes-grill somaliennes sont mortes de la même sorte et ils veulent que la publication de cette information incite des témoins cachés à rendre publics leurs récits.

L’état parallèle s’intéresse à ces quatre escortes-girls somaliennes parce que le colonel Mohamed Djama Doualeh les utilisait pour diverses missions auprès des diplomates étrangères en poste à Djibouti et certains officiers des forces françaises stationnées à Djibouti.

Hassan Cher

NB : Nous avions reçu ces informations le mois d’aout 2019 via le WhattsApp du numéro +25 377 188 091.


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Authored by: Hassan Cher Hared

Hassan Cher Hared