Djibouti : Ismaël Omar Guelleh joue à la « TOM & JERRY » avec la diaspora « USN » mais HCH24 vous a retracé ses péripéties et ses déboires…

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IOG - dans le néant totalIl se murmure à Djibouti et dans les majliss que le président fut hospitalisé a l’hôpital de Val-de-Grace à Paris. Or, après enquête il n’en est rien. Le chef de l’état est parti du sommet Afrique-UE de Bruxelles vers l’Allemagne afin de voir un spécialiste. Il est arrivé en Allemagne accompagné de la première dame laissant sa fille Aibado qui est enceinte de 4 mois à se faire consulter par un gynécologue à l’hôpital américain de Paris.

Après 2 jours en Allemagne le président est revenu à Paris. Les manifestations de l’opposition qui lui ont strié les oreillers et le cœur l’ont mis dans tous ses états. Le président fâché aussi de l’annulation du spectacle, par manque des militants, qui devais se dérouler en Belgique en son honneur n’a pas aimer recevoir un tel accueil. Ses pairs africains qui ont vu et entendus les djiboutiens de l’opposition crier dehors l’ont aussi déstabilisé par des mots tel que rapportés « que font tes gens dehors à te hurler comme ça ». La chancelière allemand Engela Merkel qui a vu les manifestants djiboutiens hurler dehors en a été choqué apprend-on de sources dignes de confiance et proche de la garde d’IOG. Quelques chefs d’états africains ont aussi vu les manifestants djiboutiens tel que le Sénégalais, Macky Sall qui devait quitter plus tôt le sommet parce que son pays allait célébrer le 4 avril la fête nationale du jour de l’indépendance. D’où le refus de la présidence djiboutienne de lui envoyer aucun message de félicitation.

Macky Sall en a été étonné de voir tous ses djiboutiens venir crier leur antipathie contre le président. À cela s’ajoute l’accord de Lomé, accord dite ACP-CEE signer par Feu l’ancien président Hassan Gouled et que l’actuel homme fort de Djibouti a refusé de l’appliquer particulièrement l’article 8 qui prône  l’ouverture démocratique. À cela s’ajoute encore les menaces à peine voilés de Louis Michel, commissaire belge qui l’a prévenu que le président dois déverrouiller le champ politique barricadé et qu’il doit tenir sa parole de dialogue avec l’opposition exprimé devant l’assemblée nationale. La réponse d’IOG fut : «  c’est eux, l’USN, qui ne veulent pas aller à la table de dialogue». Le commissaire Louis Michel qui a déjà reçu un rapport de L’USN a rigolé a plein dent apprend-on de sources dignes de confiance. Ce qui a mis en colère le ministre des histoires étrangers, Mohamoud Ali Youssouf, lors du point de presse que Louis Michel a donné à la sortie de l’entretien avec le président djiboutien. IOG déstabilisé devait aller à l’ambassade de Djibouti mais à la dernière minute ça été annuler. La première dame a reçu quelques dames et le ministre des finances, Ilyas Moussa Dawaleh accompagné de son frère, président de la chambre de commerce de Djibouti, a reçu beaucoup de militants rppiste et umpiste. Il a écouté leurs doléances. Le président IOG l’a chargé de les occuper dans les restaurants.

Le président de la Somali, Hassan Cheik Mohamoud, n’a pas été aussi reçu en audience malgré son insistance à présenter au président djiboutien ses condoléances sur la mort de 9 soldats djiboutiens tombé en champ de bataille en Somali. l’union européenne n’a pas donné suite aux projets présenter par la partie djiboutienne sur le financement du dessalement d’eau de mer que l’union devait financer ainsi que la poursuite du financement de la formation de la police somalienne et des gardes côtes à l’académie de police de Nagad et au siège centrale des gardes côtes djiboutiennes. Le président djiboutien qui a prévu de voir Robert Mugabe et bénéficier de ses conseillers tant utile pour tenir tête à l’occident n’a pas eu aussi cette chance.

Vu trop de stress IOG est parti en Allemagne laissant derrière lui ses ministres et son équipe de la RTD a retourné à Djibouti avec les mains vides. En Allemagne, reçu par l’ambassadeur Aden Dileita. Le président est allé se soigner. Selon d’autres sources le médecin lui a conseillé quelques jours de repos à sa résidence de Paris. Il n’a pas pu venir à Djibouti enterrer de ses propres mains son grand frère Abdi Omar Guelleh decedé 2 jours plutôt a l’hôpital Bouffard à 14h de l’après-midi. Il a semble- il chargé son frère Saad Omar, youyeh, Salah et ses sœurs de prendre l’affaire en main. Lui, il se repose en France réfléchissant pour son 4ème  mandat au palais de l’escale.

François Hollande, le président de la France n’a pas donné une suite positive à sa demande de visite de travail  au palais de l’Elysée et le premier ministre nouvellement nommer, Manuel Valls, a d’autres chats à fouetter. D’autres sources disent qu’il est déplacé une seule fois à l’hôpital américain de Paris afin de voir sa fille enceinte. Il a reçu en audience son nouvel ambassadeur Ayeb fraichement nommé. Le président doit signer sa lettre d’accréditation afin que celui-ci la présente au président français. Le président a semble- il reçut en audience quelques djiboutiens qui sont pro rpp a sa résidence. Mais le président est dans la réflexion en ce moment ci. Le congrès du rpp n’a pas donné carte blanche et la population grogne de partout sur l’état lamentable des finances publiques bref de la vie en général à Djibouti.

La deuxième inquiétude d’IOG c’est cette invitation de la maison Blanche qui ne vient pas encore. Susan Rice avait laissé entendre que Washington aller envoyer bientôt l’invitation d’Obama pour les chefs d’Etat africains qu’il doit recevoir à la maison Blanche après le mois Bénis du Ramadan mais l’invitation tarde à arriver. Le service de presse de la présidence, BP 6, n’a rien encore reçu.

Autre bêtise qui tourmente encore plus IOG, c’est cette demande présente de Pékin qui veut installer une base militaire à Djibouti et la mise en application de cet accord militaire secret signé entre les deux pays. 700 soldats chinois sont prêts à venir s’installer à Djibouti ainsi que 300 soldats russes, ce qui n’a pas plus à Washington ou Obama irrité a envoyé le 8 mars 2014 dernier sa conseillère à la sécurité nationale Susan Rice. Elle est venue illico à Djibouti dire deux mots au président. Elle n’a même pas annoncé sa venue à Djibouti et  surprenant le protocole de la présidence de l’escale par surprise. Alors que le chef IOG était à la corniche fêtant avec les mamans djiboutiennes le 8 mars 2014. Elle débarque à l’aéroport de Djibouti sans prévenir quiconque sauf l’ambassadrice d’USA à Djibouti, Mme Getta Passie. Ainsi Washington qui n’a pas digéré que le régime djiboutien lui interdise les vols de ses drones à partir de l’aéroport de Djibouti n’a pas aimé cette fois ci l’accueil faite à ses rivaux chinois et russes en territoire djiboutien.

Autre cas  qui a mis le chef IOG dans tous ses états avant-hier, c’est l’Iran qui a envoyé une grosse délégation directement envoyée par le président du parlement iranien et ancien négociateur en chef dans le contentieux nucléaire avec L’Agence pour l’énergie nucléaire (AEN). L’Iran ne comprend pas pourquoi le rpp traine les pieds à inaugurer son Assemblée Nationale neuf. La délégation a demandé à ce qu’une équipe de la RTD puisse aller avec eux visiter le nouveau bâtiment afin de faire voir au peuple le cadeau d’amitié de nos partenaires iraniens. Les ingénieurs iraniens s’activent à mettre la dernière touche sur tout. Le président Arnaoud de la timide assemblée nationale djiboutienne monocolore fut contraint d’avancer une date pour ne pas mécontenter l’ami iranien.

Or l’USN refuse d’aller siéger là-bas avec 22 députes (les 10 anciens plus 12 nouveau députes que IOG a promis de leur donner) donc en total 22 députes USN cooptés contre le restant au parti RPP et a ses amis satellites. Refus polis de l’opposition : «  pas question de nous acheter avec 22 députes, on veut nos 48 députes ». Le chef IOG n’en revient même pas. ainsi tous ces tracasseries a fait que le président a été obligé de garder le lit et de se tenir loin de la capitale djiboutienne ou les badauds raffolent des commentaire sur son état de santé.

Mais, Jerry gravement blessé  pense dans la quiétude la manière la plus douce dont il peut se débarrasser là-bas de l’USN qui pose problème et la grogne qui sévit à Djibouti. Le président éternel a vu les signaux avant-coureurs d’une intifada djiboutienne qui se prépare en douceur. L’appareil sécuritaire Djiboutien, la police politique, est en alerte maximums ses jours-ci.

Abdi.C


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Authored by: Hassan Cher Hared

Hassan Cher Hared

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