Djibouti / USA : Le dictateur djiboutien, Ismaël Omar Guelleh, est convoqué à la Maison Blanche le 5 mai 2014
Le président Barack Obama rencontrera le président djiboutien Ismail Omar Guelleh à la Maison Blanche début du mois prochain.
Djibouti joue un rôle important dans la prévention des conflits, la promotion de la stabilité régionale et la lutte contre l’extrémisme.
Le pays de moins de 1 million de personnes accueille la seule base permanente de l’armée américaine en Afrique, Camp Lemonnier. La base abrite des forces conventionnelles, mais aussi des forces spéciales et des drones soupçonnés de mener des attaques en Yémen et en Somalie.
La Maison Blanche a dit qu’Obama attend avec impatience de discuter de diverses questions avec Guelleh, y compris la sécurité et la lutte antiterroriste, le commerce, le développement et la coopération énergétique.
Dépassant les langages diplomatiques, les motifs réels de la convocation :
Première cause
Cette convocation suit la visite surprise de la conseillère de la sécurité nationale USA, Susan E. Rice, à Djibouti le 8 Mars 2014. Vu qu’IOG, avide d’argent et fidèle à ses pulsions maniaco-dépressif de puissance régionale, a mélangé la chose, Obama a pensé utile de manier le bâton et la carotte à l’égard de ce dictateur imprévisible.
Comme tout le monde le sait IOG a accordé des bases militaires à des puissances occidentaux, USA et UE, mais depuis peu il a commencé à inviter, à installer leurs bases à Djibouti, des puissances adversaires et hostiles à l’OTAN, dont la Chine, la Russie et l’Iran.
Cette affaire démontre l’incompétence d’IOG dans la politique et l’amateurisme dont est gérée la république de Djibouti. Ainsi, avec sa politique d’amateurisme, IOG met en danger les installations USA, France et EU à Djibouti.
Seconde cause
Vu la grogne du peuple djiboutien à l’égard du régime de Guelleh, les occidentaux craingnent une somalisation de la situation djiboutienne et veulent une fois de plus ramener IOG à la raison autrement les appareils judiciaires et des droits de l’homme internationaux se mettront en branle et il sera trop tard pour sauver sa tranche.
Hassan Cher
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