Somaliland : Les geôliers voient le viol de femmes dans les prisons de la Somaliland comme un « avantage en nature ».
Les gardiens des prisons de la Somaliland, un autoproclamé qui espoir se séparer de la Somalie, sont composés en majeur parti de la gente masculine. Vu que c’est un milieu de difficile à gérer en raison de manque des moyens financiers suffisants, humains, et matériels l’état préfère engager des hommes.
Et dans la culture de la population de cette région, il n’est pas acceptable de voir des femmes circulant la nuit tardivement dans la ville ou exerçant une activité dans un milieu d’homme ; pour ainsi les gardiens des prisons des femmes sont aussi des hommes.
Pour veiller la nuit, les gardiens des prisons, comme des travailleurs des autres secteurs, broutent la drogue de l’Afrique de l’Est et de la péninsule arabique, le Khat. Créant certains effets chez les consommateurs, tel que l’excitation sexuel, il est courant de voir dans les prisons de la Somaliland des gardiens extirpant des femmes détenus de leurs cellules au milieu de la nuit dans l’unique but d’assouvir leurs pulsions sexuelles. Cet acte sexuel criminel est vu, chez les gardiens mâles, comme un avantage en nature au point qu’il est qualifié de calmant contre l’effet du Khat – Mirqaan Jabis en langue somalie.
Un gardien de la prison de Gabilay excédé par les traitements humains infligés aux femmes détenus a, dans l’anonymat, relaté à la presse les viols répétés de quatre femmes dans la prison précitée. Ces quatre ont été aussi battues et affamés pendant 4 jours.
D’après le témoin elles se sentent complètement impuissants à s’opposer les attaques de leurs geôliers bourreaux. Faire une plainte formelle conduit souvent à plus de violence et plus de maltraitance. Même le personnel féminin de la prison a peur de parler par crainte de représailles.
Le gardien a rajouté qu’il est temps que les instances mettent la pression sur les autorités de la Somaliland afin que prennent fin la violence gratuite à l’encontre les femmes en détention en particulier et toutes les femmes en général.
Hassan Cher
Share