Djibouti : Le colonel Abdillahi Abdi Farah, un psychopathe à la tête de la police nationale de Djibouti

Djibouti : Le colonel Abdillahi Abdi Farah, un psychopathe à la tête de la police nationale de Djibouti

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Psychopathe

Ces derniers jours, les réseaux sociaux sont inondés d’une affaire rocambolesque digne d’un polar d’espionnage qu’on croirait sortie tout droit de l’imagination du célèbre romancier britannique « JOHN LE CARRE », mais qui malheureusement n’est pas une fiction et se déroule en terre africaine plus précisément à Djibouti entre l’actuel, chef de la police, le colonel ABDILLAHI ABDI, et des jeunes activistes djiboutiens vivant en exil en Europe et outre-Atlantique. On pourrait intituler ce polar : « Le manipulateur pris à son propre piège ».

Après avoir écouté et analysé les échanges téléphoniques enregistrés à son insu et les messageries WhatsApp, nous avons essayé de cerner la personnalité du colonel ABDILLAHI ABDI en s’adressant à un éminent psychiatre dont on taira le nom par pudeur pour nous éclairer davantage et les résultats obtenus à partir de ses comportements font froid dans le dos.

Tout cela s’appuie sur les échanges et les messages WhatsApp dont nous avons pris la peine de les traduire. Les maux dont il souffrait sont sans équivoque et tellement graves qu’on ne peut pas passer sous silence au risque de mettre en péril notre nation. Il nous a semblé utile d’aviser nos lecteurs et les partenaires publics et privés avec lesquels le directeur de la police entretient des relations professionnelles ou autre pour qu’ils se protègent contre ses dérives comportementales.  

La plupart des personnes n’arrivent pas à comprendre les brusques volte-face permanentes d’Abdillahi Abdi, car un psychopathe n’a aucune moralité et cherche qu’à dominer. Pour lui toute rencontre ne se résume par un rapport de force et il ne cherche qu’à duper et asservir. Il n’éprouve aucune empathie et ne ressent aucune émotion.

 Je vous invite à lire les 8 signes ci-dessous et à chacun de se faire une idée sur la personnalité violente du colonel ABDILLAHI ABDI FARAH, le directeur général de la police :

1— Il ne ressent rien pour les autres

 Les psychopathes ne ressentent rien pour les autres, mais seulement pour eux. Ils ressentent bien biologiquement des émotions, mais psychologiquement les troubles caractériels de leur maladie viennent troubler et altérer le ressenti de ces émotions. Ils n’ont aucun sentiment envers les autres. Toute émotion est ramenée à eux de n’importe quelle façon. Les autres ne sont que des objets qui servent à assouvir leurs envies.

Ce problème d’absence d’empathie explique pourquoi ils n’ont aucune morale et donc aucune limite à faire du mal à autrui physiquement et moralement. D’où leur dangerosité.

2— Il n’avoue jamais sa culpabilité

Mensonges, manipulations, violence… Les psychopathes sont prêts à tout pour que chaque chose convienne à leurs envies. Tout individu, lorsqu’il n’agit pas comme le psychopathe le souhaite, lui rappelle cette réalité qu’il déteste. Il n’est pas question de déni ou de fuite de la réalité, un psychopathe cherche juste à la modifier pour qu’elle soit conforme à l’idée que lui se fait. Si quelqu’un agit différemment, il fera tout pour le détruire. Et s’il fait du mal, c’est uniquement parce que les autres l’ont bien cherché.

 
Jamais de leur faute. Jamais un psychopathe n’avoue sa culpabilité. Il cherche à trouver n’importe quoi pour se justifier ou tente de manipuler l’autre pour lui faire croire que tout est de sa faute. « Pour satisfaire sa personnalité narcissique jamais le psychopathe ne doit baisser dans l’estime des autres. Il n’y a aucune préoccupation pour le sort de la victime, aucune expression d’amour et de remords » explique J. Reid Maloy, professeur de psychiatrie à l’université de Californie, dans son ouvrage les psychopathes.

3— Il dévalorise les autres sans cesse

Le psychopathe vit dans une réalité qu’il se fabrique. Tous les autres individus extérieurs le sortent de cette réalité et lui rappellent ce qu’il déteste. Par conséquent, il a tendance à rabaisser les autres plus bas que terre continuellement. C’est une sorte d’extériorisation agressive afin de détruire tout ce qui peut lui faire mal. Un moyen d’attaquer les autres pour être sûr qu’il ne le blesse pas un jour. Étant un être tourné sur lui-même, le psychopathe ne prendra pas le risque que quelque chose puisse toucher à l’estime qu’il a de lui. Pour arriver à ses fins, il est prêt à tout. Néanmoins, il est important de ne pas confondre un pervers narcissique qui rabaisse pour son plaisir avec un psychopathe qui souffre d’une maladie violente beaucoup plus dangereuse.

4— Aucune relation sociable durable

Contrairement à ce qu’on croit, les psychopathes ont quelques facilités à nouer des liens avec les autres. Mais ces liens ne durent jamais. Comme une pause au milieu de la maladie, les psychopathes ont besoin des autres pour tester la réalité. Le problème c’est qu’à cause de leurs caractéristiques narcissiques, colériques et paranoïaques n’importe quelle personne viendra un jour heurter leur susceptibilité et déchaîner leur colère sans même le vouloir. Comme un mécanisme de défense, le malade va tenter de détruire l’autre, moralement ou physiquement. Quoiqu’il arrive, les psychopathes finissent par être isolés.

5— Paranoïaque, il s’énerve rapidement

 C’est dans son caractère colérique que l’on ressent le plus l’aspect d’un psychopathe. Cette particularité s’apparente à une sorte de délire paranoïaque parce qu’il veut être constamment admiré et envié. « Les personnes réelles sont perçues comme des objets familiers, néanmoins maléfiques qui attaquent et qui méritent la rage du psychopathe » explique J. Reid Maloy dans son livre « Les psychopathes ». Un événement bénin, une petite insulte ou même un regard de travers peuvent suffire à renvoyer au psychopathe l’impression qu’on ne le voit pas comme il le souhaiterait. « L’expérience consciente de rages dans le processus psychopathique débouche typiquement sur la violence en l’absence de structuration du surmoi » ajoute l’auteur.

6— La tromperie continuelle

Une personne atteinte de psychopathie a conscience du mal qu’elle cause à l’autre. Pour éviter que les autres ne fassent quelque chose qui lui déplaise ou l’angoisse, elle utilise la tromperie. Il y a une réelle intention de manipulation des autres pour le dénuer de tout attribut. Par ce moyen, le psychopathe est sûr de dominer et satisfaire sa personnalité narcissique.

7— L’indifférence froide

Les personnes psychopathes ne sont pas sensibles, on ne peut pas les « prendre par les sentiments ». Elles contrôlent sans peine leurs peurs et leurs pulsions en public. Ayant souvent deux visages, l’un pulsionnel et l’autre social, le premier reprend rapidement l’ascendant sur le second dans la vie privée. Leurs pulsions peuvent s’exprimer avec efficience à travers le pouvoir des mots (ou langage performatif), qui deviennent aussi destructeur que les violences physiques, voire davantage. Leur regard reste froid et intense à la fois, accentuant une part de mystère.

Psychopathe : 3 % d’hommes et 1 % de femmes

La psychopathie est une maladie grave très peu connue qui touche 3 % d’hommes et 1 % de femmes.
C’est un trouble permanent du développement comportemental caractérisé par des comportements asociaux impulsifs et pour lesquels le sujet ne ressent aucune culpabilité.

 
Ce trouble psychologique peut interagir et/ou accentuer d’autres troubles comme la schizophrénie ou la dépression bipolaire. Il existe plusieurs degrés dans la maladie pouvant aller de la psychopathie modérée à un passage à l’acte criminel et dangereux pour les autres. Elle ne peut être diagnostiquée avant 18 ans, mais en général on peut toujours constater des antécédents au cours de l’adolescence.

Notre analyse est allée plus loin, c’est pourquoi nos anciens ont produit ce proverbe » KAS RAAG OO WANAAGSAN IYO KITAAB WAL OO BARAKAYSAN WAAY ISTAGAAN » qui veut littéralement dire « la sagesse et le livre sacré se rejoignent » je vous invite à lire le verset 4 de la sourate 63 (les hypocrites)

 Quand on les voit, on est séduit par leur stature ; et quand ils parlent, on les écoute volontiers. Pourtant, ils ne sont, en réalité, que des poutres en mal d’appui, que le moindre cri met en émoi. Ce sont ceux-là tes pires ennemis ! Méfie-toi d’eux ! Que Dieu anéantisse ces hypocrites, si prompts à se détourner de la voie du Seigneur !   

Hassan Cher


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Authored by: Hassan Cher Hared

Hassan Cher Hared