Kenya: La BAD va accorder 915 millions de dollars US au Kenya entre 2014 et 2018
La Banque africaine de développement (BAD) a annoncé, le 6 mars, qu’elle allait accorder des financements d’un montant global de 915 millions de dollars au Kenya entre 2014 et 2018. Ces financements sont notamment destinés au développement des infrastructures et au renforcement du système de l’enseignement et de la formation, selon le Document de stratégie pays (DSP) du Kenya pour la période 2014-2018 adopté le 5 mars par le conseil d’administration de la BAD. «Nous avons articulé le DSP autour de deux grands piliers. Nous continuerons de soutenir les efforts du gouvernement pour améliorer les infrastructures physiques afin de déclencher la croissance inclusive, ainsi que pour développer les compétences pour le marché du travail émergent de l’économie kényane en pleine mutation», a indiqué Gabriel Negatu, directeur régional du Centre régional de ressources pour l’Afrique de l’Est de la BAD, cité dans un communiqué publié par l’institution.
Dans le cadre du premier pilier, la BAD établira un environnement plus propice au secteur privé à travers des investissements dans les infrastructures physiques, et plus particulièrement dans les secteurs de l’énergie, des transports et de l’eau.
En ce qui concerne la formation et le renforcement des compétences, les nouvelles interventions de la BAD porteront en priorité sur l’appui à l’enseignement et à la formation techniques et professionnels (EFTP) afin de développer les compétences de niveau intermédiaire et des techniciens pour le marché du travail kényan.
La Banque africaine de développement (BAD) a annoncé, le 6 mars, qu’elle allait accorder des financements d’un montant global de 915 millions de dollars au Kenya entre 2014 et 2018. Ces financements sont notamment destinés au développement des infrastructures et au renforcement du système de l’enseignement et de la formation, selon le Document de stratégie pays (DSP) du Kenya pour la période 2014-2018 adopté le 5 mars par le conseil d’administration de la BAD. «Nous avons articulé le DSP autour de deux grands piliers. Nous continuerons de soutenir les efforts du gouvernement pour améliorer les infrastructures physiques afin de déclencher la croissance inclusive, ainsi que pour développer les compétences pour le marché du travail émergent de l’économie kényane en pleine mutation», a indiqué Gabriel Negatu, directeur régional du Centre régional de ressources pour l’Afrique de l’Est de la BAD, cité dans un communiqué publié par l’institution.
Dans le cadre du premier pilier, la BAD établira un environnement plus propice au secteur privé à travers des investissements dans les infrastructures physiques, et plus particulièrement dans les secteurs de l’énergie, des transports et de l’eau.
En ce qui concerne la formation et le renforcement des compétences, les nouvelles interventions de la BAD porteront en priorité sur l’appui à l’enseignement et à la formation techniques et professionnels (EFTP) afin de développer les compétences de niveau intermédiaire et des techniciens pour le marché du travail kényan.
La Banque africaine de développement (BAD) a annoncé, le 6 mars, qu’elle allait accorder des financements d’un montant global de 915 millions de dollars au Kenya entre 2014 et 2018. Ces financements sont notamment destinés au développement des infrastructures et au renforcement du système de l’enseignement et de la formation, selon le Document de stratégie pays (DSP) du Kenya pour la période 2014-2018 adopté le 5 mars par le conseil d’administration de la BAD. «Nous avons articulé le DSP autour de deux grands piliers. Nous continuerons de soutenir les efforts du gouvernement pour améliorer les infrastructures physiques afin de déclencher la croissance inclusive, ainsi que pour développer les compétences pour le marché du travail émergent de l’économie kényane en pleine mutation», a indiqué Gabriel Negatu, directeur régional du Centre régional de ressources pour l’Afrique de l’Est de la BAD, cité dans un communiqué publié par l’institution.
Dans le cadre du premier pilier, la BAD établira un environnement plus propice au secteur privé à travers des investissements dans les infrastructures physiques, et plus particulièrement dans les secteurs de l’énergie, des transports et de l’eau.
En ce qui concerne la formation et le renforcement des compétences, les nouvelles interventions de la BAD porteront en priorité sur l’appui à l’enseignement et à la formation techniques et professionnels (EFTP) afin de développer les compétences de niveau intermédiaire et des techniciens pour le marché du travail kényan.La Banque africaine de développement (BAD) a annoncé, le 6 mars, qu’elle allait accorder des financements d’un montant global de 915 millions de dollars au Kenya entre 2014 et 2018. Ces financements sont notamment destinés au développement des infrastructures et au renforcement du système de l’enseignement et de la formation, selon le Document de stratégie pays (DSP) du Kenya pour la période 2014-2018 adopté le 5 mars par le conseil d’administration de la BAD. «Nous avons articulé le DSP autour de deux grands piliers. Nous continuerons de soutenir les efforts du gouvernement pour améliorer les infrastructures physiques afin de déclencher la croissance inclusive, ainsi que pour développer les compétences pour le marché du travail émergent de l’économie kényane en pleine mutation», a indiqué Gabriel Negatu, directeur régional du Centre régional de ressources pour l’Afrique de l’Est de la BAD, cité dans un communiqué publié par l’institution.
Dans le cadre du premier pilier, la BAD établira un environnement plus propice au secteur privé à travers des investissements dans les infrastructures physiques, et plus particulièrement dans les secteurs de l’énergie, des transports et de l’eau.
En ce qui concerne la formation et le renforcement des compétences, les nouvelles interventions de la BAD porteront en priorité sur l’appui à l’enseignement et à la formation techniques et professionnels (EFTP) afin de développer les compétences de niveau intermédiaire et des techniciens pour le marché du travail kényan.
Agence Ecofin


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