Djibouti: La gestion mafieuse des biens publics à Djibouti
La justice est réduite au silence et reste sous l’ordre d’IOG. Cette mainmise sur la justice n’encourage pas les investisseurs étrangers à s’installer à Djibouti contrairement aux discours d’IOG faisant souvent référence au secteur privé. Aussi, il y a risque que ce manque de justice puisse conduire, un jour, les citoyens à se faire justice eux-mêmes.
Le Trésor Public est dépouillé de ses fonctions initiales. Des circuits parallèles ont été créés. Des inondations et de petits incendies suspects font apparition de temps à autre.
Les biens immobiliers de l’Etat, abandonnés, tombent en ruine par manque d’entretien. D’autres sont cédés aux proches et aux amis d’IOG.
La cession douteuse de la résidence « LES MOUETTES » (16 appartements) propriété de l’Etat, à une société MKL Comesa Ltd transformée aujourd’hui en hôtel de grand luxe « Hôtel Impérial » dans lequel certains proches du Président auraient des intérêts. Aussi, les dépôts se trouvant derrière le « café de la gare » qui appartenait à l’Etat, auraient été cédés à un très proche d’IOG et un grand immeuble y est construit.
La constitution du pays est mise au placard. Toutes les lois sont bafouées. IOG les fait adopter, tout juste, pour se donner une image à l’extérieur. Par la suite, il ne respecte aucune.


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