Djibouti : rien ne va entre Ismael Omar Guelleh et sa belle-famille en général.
Après l’arrestation du businessman somalilandais, Djama Omar Sed, sous les chefs d’accusation « contrebande » et l’arrivé à Djibouti de la presque totalité des sultans de la tribu Issak dans le but de négocier avec le gouvernement djiboutien la libération de l’accuse qui risque une condamnation de plus de 5 ans et la perte de toute sa richesse que la justice djiboutien qualifie des biens mal acquis, les relations familiales entre IOG et sa belle-famille se sont dégradés.
Les 12 sultans qui ont récoltés les refus totales de la part des différents ministres du gouvernement d’IOG, tentent depuis près d’une semaine de rencontrer le président et son épouse mais les preuves sont trimbalés d’un Mijlis à un autre dans l’objectif de les décourager.
Ayant su comment les sultans Issak ont été traité et la fermeté rencontrée auprès du régime djiboutien, une délégation de haut niveau qui représentée environ 2/3 de l’administration somalilandaise (ministre de la justice, ministre des affaires étrangères, ministre de l’intérieur, ministre de la défense, général de l’armée, colonel de la police, etc…) a annulé son voyage à Djibouti.
Le 25 novembre 2013, la délégation somalilandaise prétexte avoir raté le vol de Daalo Airlines, le 26 novembre certains membre de la délégation n’ont pas de passeport de voyage et aujourd’hui ils ont décidé, sans officialiser leur décision, d’annuler leur réunion de travail avec le gouvernement d’IOG.
Un haut responsable somalilandais invite même son gouvernement à publier sur la place publique des activités pas catholique d’IOG. Un citoyen de Hargeisa préfère que son pays prenne l’usine de Coca Cola si IOG ne rend pas les biens Djama Omar.
Nous craignons que les choses prennent de nouvelles tournures les jours à venir dès que les 12 sultans Issak rentrent à Hargeisa avec que des mauvaises nouvelles.
Des hommes politiques qui suivent de près les relations entre IOG et la Somaliland disent : « suite le décès de Feu Mahamoud Haïd, gouverneur de la Banque nationale, le courant ne passe entre le régime d’IOG et l’entité somalilandaise et particulièrement sa belle-famille en général. Les deux pôles d’intérêt ont perdu une courroie de transmission qui facilitait la communication. »
HCH