Djibouti : vidéo- IOG enracine la haine clanique chez les enfants djiboutiens
Après l’esclavage, la colonisation, la décolonisation, les pseudos indépendances et la globalisation, le monde entre dans une nouvelle phase de géopolitique. Durant chacune de ces grandes mutations évènementielles, le continent noir a été et demeure la proie des groupes d’intérêts.
La mauvaise gouvernance, la confiscation du pouvoir, le non-respect des droits de l’Homme, la corruption et l’institutionnalisation d’un favoritisme récurrent, les guerres, les génocides, le népotisme au sommet du pouvoir et la dictature institutionnalisée s’enracinent en Afrique sous un bouclier protecteur édifié sous la base du clanisme.
Le vent démocratique qui a soufflé sur le continent au début des années 90 s’est dissipé à queue de poisson sous la véhémence des dictateurs et l’attachement des mercenaires.
Djibouti n’est pas en reste et vogue toujours dans l’incertitude et l’imprévisible moyenâgeux.
En publique l’armée, la gendarmerie et la police sont de véritables gardiens du temple pour IOG et dans les quartiers populaires sa milice composée des irréductibles pactés veillent sur les mouvements des militants et des leaders politiques.
A Djibouti, IOG a fondé une dictature qui crée et développe une haine clanique qui couve une guerre civile en filigrane, résultante du mécontentement et de l’étouffement des peuples.
Ce n’est plus les adultes qui doivent confronter quotidienne cette haine clanique maladif d’IOG mais il a commencé depuis peu a imprégner directement la trace indélébile de sa politique sectaire à l’avenir de ce pays, des enfants mineures.
Dans cette vidéo la jeune fille, Djouweria Kadar Elmi, à peine 15 ans, détaille avec une telle précision ses tortionnaires et comment son interrogatoire a totalement tourné sur l’appartenance claniques de ses parents, arrières grands parents et de sa généalogie. On peut facilement constater que cette jeune fille a été profondément touchée par l’histoire qu’elle a vécue.
N’ayant pas réussi à terrasser la petite, les tortionnaires profitent de l’occasion pour fabriquer un témoignage contre DAF.
Quand le criminel tente de se dédouaner en fabriquant des fausses chefs d’accusation contre la victime, c’est la frénésie de la fin que nous assistons. Mais quelle fin ?
HCH
vidéo de témoignage de Djouweria Kadar Elmi