Djibouti : BODEH, le caniche larron de Djama Vietnam.

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Sauvons L'éducation Nationale - DjiboutiDans l’oscillation permanente entre les péchés de son identité frelatée et se son ambition de se créer une base tribale, Bodeh, l’actuel ministre du budget s’en donne les moyens grâce à son maitre à penser qui n’est autre que son homologue du sinistre ministère de l’éducation nationale.
Inféodé de discernement et de sagesse politique, il multiplie les frasques sur un peuple spolié de toute sa substance de dignité et réfugié dans les méandres des rêves épiques que lui méprise comme une légende futile.

Avec une extrême jouissance à satisfaire son maitre de Djama, il multiple les grâces jusqu’à comme celui de la fonction publique, Abdi Houssein à prostituer la fonction politique de ministre. En échange de la radiation de Farah et Abdillahi Adawé deux enseignants chevronnés mais indignés contre le système, le ministre du travail et de la fonction publique a obtenu une nomination de sa sœur au poste de chef de service.

Mais l’enfant de Dire-Dawa, a fait du ministère du budget un organe de répression et de promotion tribale à la solde du ministre de l’éducation. En effet, 200 enseignants de plus 20 ans de carrière sont « épurés par le tandem Arabsio/Dire-Dawa. 50 agents et plus d’une centaine d’enseignants mono clanique recruté.
Sous le regard bienveillant de son mentor folique  mais rouge épidermique du peuple, les ministres, Djama Vietnam, Bodeh et Abdi Houssein ont fait des ministères des camps d’expérimentations de leurs fanatismes tribaux.

Mr Bodeh a souillé sa fonction de ministre du budget qui nécessite prudence, rigueur et discipline…en trempant de la sorte le budget national dans l’eau froide de la compétition tribale instituée par Djama Vietnam. Combien des directeurs, de chefs de service dont certains n’ont même pas le niveau CM2, des proviseurs adjoints, des enseignants recrutés à la pelle tribale, des agents…sont budgétisés en un temps record grâce à sa complicité.
Il est devenu le simple comptable de Djama Vietnam et n’a en dehors des rituels de génuflexions et de la baise main, le goût d’un valet de banquet qui attend l’appétit digestif de son maitre.
HCH


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Authored by: Hassan Cher Hared

Hassan Cher Hared

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