Djibouti : Les sacrés coup bas entre deux militaires analphabètes pour la succession du dictateur djiboutien, Ismaël Omar Guelleh.

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Mohamed Djama - Zakaria Cheikh IbrahimIlluminé par l’enrichissement illicite que lui procure les recettes portuaires, les bases militaires des puissances internationales et en générale le trésor national aménagé dans le villa bunkerissé du tyran djiboutien, illusionné par le mythe d’un pouvoir absolu, aliéné par l’immensité des armes de destruction massive qu’il accumule et retourne à l’occasion contre son peuple, tel que le Nord du pays et Arhiba, déshonoré par les méthodes inhumainS qu’il fait subir au même peuple et à ses rivaux politiques, Mr Ismaël Omar Guelleh a méprisé, le calendrier politique de la constitution qui l’obligeait de quitter le pouvoir en 2010.

Le peuple djiboutien, déjà mécontent de sa nomination à la tête du pays par son oncle, a été dégouté par la violation grave de la constitution en 2010 qui ouvrit une présidence à vie au dictateur Guelleh.

Ayant échafaudé depuis la fin des années 80 son plan machiavélique d’assurer une dictature clanique perpétuel, il met en place en 2002 le pilier finale de la force qui devra assura la protection de cette loge familiale, la garde républicaine.

La promotion éclaire, la proximité avec la haute magistrature du pays, la liberté illimité qu’il bénéficie, la confiance aveugle, la force et les moyens qui lui sont totalement délégués et son inhérence ont surmonté la tête au chef de la garde républicaine, le colonel Mohamed Djama. IOG, ayant constaté le danger que lui représente son cousin, le colonel Mohamed Djama, il revient son vieux fidèle, le Général Zakaria Cheikh Ibrahim.

Pendant son convalescence en France au début de ce mois d’Avril 2014, Ismaël Omar Guelleh a remis, par coup de fil, le règne du pays dans la main de l’amovible général Zakaria. Cette décision n’a pas plu à beaucoup d’autres prétendants du régime. Le colonel Mohamed Djama est celui qui s’est permis de réagir violement à l’encontre du général Zakaria.

Comme il a bien suivi l’école avérée de son maitre, IOG, le colonel s’était constitué une cellule de renseignement indépendante dans la garde républicaine. Il a monté un dossier sur le général Zakaria Cheikh Ibrahim dans lequel il l’accuse des connivences avec des organisations arabes religieuses extrémistes et d’être le médiateur incontesté de l’Egypte, auprès du pouvoir djiboutien, pour l’accord de ses demandes d’octroi des bases militaires à Djibouti.

Ces bases militaires égyptiennes sont destinées à servir des moyens de pression contre l’Ethiopie et au besoin des bases d’attaque contre le grand barrage hydroélectrique d’Addis-Abeba contesté par Caire.

Le dossier bien scellé et incriminant le général Zakaria Cheikh Ibrahim est arrivé dans les mains de la sécurité éthiopienne.

Addis-Abeba saisit immédiatement la présidence djiboutienne et Ismaël Tani fait suivre la réaction du voisin jusqu’à Paris, la villa de vacance d’IOG. Malgré les recommandations des médecins de Val-de-Grâce, IOG décide brusquement de retourner au pays.

D’après des sources non confirmées, IOG aurait mis en suspension provisoire son neveu devenu trop jaloux et dangereux ces derniers temps.

 

Hassan Cher


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Authored by: Hassan Cher Hared

Hassan Cher Hared

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