Djibouti: Le terrorisme institutionnalisé des femmes et des enfants par Ismael Omar Guelleh à Djibouti

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Tirés de leur sommeil profond à 1h du matin, sans raison valable et justificative si ce n’est qu’il s’agit de ma famille, ce sont des enfants sans aucun rapport avec la politique qui ont bien été emprisonnés dans les sinistres locaux du SDS (service de documentation et de sureté djiboutien) et libérés le lendemain soir. Ils garderont pour toujours les séquelles de cette brutalité qu’on leur a imposée.

Cette honteuse « rafle » qui rappelle celle de notre sinistre période en France « la Rafle du Vél’ d’Hiv' » est devenue le menu quotiden de Guelleh, perçue comme une normalité par le régime qui, dans sa soif de vengeance a bien voulu montrer ses muscles en s’en prenant à des êtres innocents et fragiles, sauvages et candides.

Cette violence policière à l’endroit de ma famille m’encourage encore plus dans la détermination du combat contre l’oppression que mène le régime Djiboutien. S’il pense me faire taire ainsi, c’est peine perdu.

Se sachant désormais impuissant pour m’atteindre physiquement après ses deux tentatives d’assassinats avortées sur ma personne à Rennes grâce à l’excellente et rapide intervention de la Police Nationale (de la Brigade Anti-criminalité), convaincu que je suis pour toujours protégé par ma douce France grâce à l’impressionnant dispositif de sécurité qu’elle a mise en place, Ismael Omar Guelleh n’a eu d’autres alternatives que celle de se retourner contre ma famille.

S’il a l’habitude de trahir ses ressortissants, de les déchoir de leur nationalité, de les bannir ou tout simplement de les éliminer, la France au contraire est celle qui veille et protège jalousement, telle une mère, ses ressortissants.

En attendant, Guelleh pourra toujours s’acharner mais plutôt que de négocier ma réddition, je lui promets ma SEDITION!!!

La guerre contre le Président autoproclamé de Djibouti, détenteur du palmarès en matière de crimes de guerre, génocide et crimes contre l’humanité ne fait que commencer.

Le sang du peuple djiboutien ne se monnaye point.

Houssein IBRAHIM HOUMED

Les personnes arrêtées sont:

-Dahabo Guedi Sahal-ma mère, âgée de 80 ans
-Abdoulkader Ibrahim Houmed-mon frère
-Kadiga Ibrahim Houmed-ma soeur
-Goumati Mohamed Houmed-ma cousine

mes nièces et neveux orphelins de père et de mère

-Aboubaker Houmed Ibrahim -Lycéen-17 ans
Mohamed Houmed Ibrahim-Lycéen-16 ans
Abdoulkader Houmed Ibrahim-Lycéen-15 ans
Amina Houmed Ibrahim-7 ans
Mako Houmed Ibrahim- 6 ans
Hasna Houmed Ibrahim- 5 ans
Ibrahim Houmed Ibrahim- 4 ans

Houssein philo

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Authored by: Hassan Cher Hared

Hassan Cher Hared

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