Djibouti: En Hommage à la famille du Capitaine Hamadou, à Hasna, Hafez, Sahal, Rayaleh à toutes les victimes de la dictature djiboutienne

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Houssein Ibrahim Houmed dit housseinphiloEn Hommage à la famille du Capitaine Hamadou, froidement assassiné
En Hommage à Hasna, Hafez, Sahal, Rayaleh sauvagement assassinés
En Hommage à toutes les victimes de la dictature djiboutienne

Chaque soir, vous serez tenus informés des crimes contre l’humanité perpétrés par Ismael Omar Guelleh contre ses fonctionnaires et ses autres serviteurs. L’usure du pouvoir mais surtout le caractère congénitalement criminel est sans doute responsable des dérives tentaculaires de Guelleh qui n’épargne personne, qui écrase tout sur son passage à commencer par ses plus fidèles d’entre les fidèles. Ce soir, nous nous limiterons au cas de deux djiboutiens, tous deux militaires, tous deux officiers, tous deux rattachés à la Présidence de Djibouti.

Le mode opératoire et le lieu de l’assassinat demeure toujours les mêmes. La Route d’Arta, cette route ô combien apprécié par Ismael Omar, cette route qui abrite tant des secrets, entre autre celui du juge Borrel, IOG l’a goudronné, c’est une route qui cache pas mal de crimes! Ces crimes portent la signature d’une seule et même personne, CELLE du Fürher Djiboutien, qui a, à son actif des milliers de mort mais qui continue de vivre comme si de rien n’était.

1)- Le Capitaine Hamadou était un officier de la Garde Présidentielle, père de Wahib Hamadou qui fut un temps Professeur d’Education Physique et sportive et ensuite Directeur de la Jeunesse et des sports et cousin de l’ex-premier ministre Barkat Gourad Hamadou. Cet officier de gendarmerie qui fut le premier aide de camp du Président Gouled, fondateur de l’ethnofascisme était un homme apprécié pour son sérieux, son courage et son intelligence et il connaissait naturellement beaucoup de choses dans les coulisses du pouvoir.

Ismaël Omar pouvait-il apprécier qu’un Afar dispose de tels renseignements? Il sera assassiné dans un tragique accident de la circulation sur la route d’Arta.
Deux voitures l’auraient prises en sandwich de devant et à l’arrière. Celui qui fut aide de camp auprès de Gouled n’aura droit à aucune autopsie, il sera enterré à la va-vite et sa famille est contrainte de n’accepter que la version officielle, l’unique, la vraie ! celle qui émane de Monsieur Ismaël Omar, alors puissant Chef de cabinet qui a droit de vie et de mort sur ses sujets.

2)-Vient ensuite le cas du Major Daheyeh , qui fut également un officier de la garde présidentielle.Il a été abattu par deux mercenaires sur la route d’Arta. L’enquête de la gendarmerie ne donnera lieu à aucune conclusion sérieuse puisque bâclée dès le départ, les gendarmes entretenant avec le régime un rôle pour tout le moins douteux. La victime serait officieusement tuée par des bandits, venus d’où ??? Impossible à élucider ! Le major Deheyeh était un ancien formé dans la gendarmerie française et connaissait parfaitement le dossier de la mort du juge assassiné, Bernard Borel. Il avait ses entrées dans certaines ambassades étrangères à Djibouti. Ce qui n’était du goût de Guelleh qui s’est débarrassée rapidement.

Vous remarquerez que les crimes commis par Guelleh n’épargne aucun djiboutien et la liste est tellement longue, tellement affreuse, tellement insupportable que la Cour Pénale Internationale ne manquera d’apporter une réponse face à l’ampleur de ce désastre, face à la monstruosité qui anime Guelleh et au caractère maléfique de sa conseillère Kadra Haid.

Houssein IBRAHIM HOUMED

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Authored by: Hassan Cher Hared

Hassan Cher Hared

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